À l'endroit qui est aujourd'hui Sekigahara, dans la préfecture de Gifu, les forces d'Ieyasu Tokugawa combattirent celles de Mitsunari Ishida, qui étaient loyales au fils et héritier de Hideyoshi Toyotomi, Hideyori. Le cours de la bataille changea lorsque Kobayakawa Hideaki (en), qui était du côté d'Ishida, trahit ses alliés en plein combat. Bien qu'au début, Kobayakawa se soit contenté de rester aux limites de la zone de combats et n'eût pas pris part à la bataille, Tokugawa finit par ordonner à ses ashigaru de tirer sur les troupes de Kobayakawa, après quoi ce dernier passa dans le camp Tokugawa. Ce fut cette trahison qui conduisit à la victoire décisive d'Ieyasu et à la fin du Conseil des Cinq.
je me présente Kato, pour vous servir, Shugyosha. Shugoyosha, Shugyo veut dire entraînement, discipline et Sha désigne une personne : celui qui s'adonne à un entraînement sévère. Une discipline stricte. Terme qui est apparu au 17ème siècle au Japon pour désigner les Samouraïs errants qui parcouraient le pays pour se perfectionner.Ce blog bd a pour vocation de vous faire découvrir le Japon des Samouraïs.
pour mieux comprendre:
Glossaire:
- un Kata est un terme japonais désignant une forme dans les arts martiaux japonais. Il s'agit de mouvements codifiés à partir de l'expérience de combattants dont les noms ont été perdus. Les kata sont par la suite devenus des outils de transmission de techniques, mais aussi de principes, de combat.
-L’iaidō (居合道) est un art martial d'origine japonaise se focalisant sur l'acte de dégainer le sabre et de trancher en un seul mouvement. Plus exactement, le but est d'exécuter une technique, avant l'adversaire, choisie en fonction du lieu et du contexte de la situation. Tout comme pour les autres budō, cette discipline se focalise principalement sur la perfection des mouvements et la démarche spirituelle (influence du zen), l'efficacité technique, quant à elle, devient de plus en plus importante au fur et à mesure que le pratiquant augmente en grade.
- Rébellion de Shimabara (島原の乱, Shimabara no ran) est une importante révolte de paysans japonais au cours du Shogunat Tokugawa en 1637–1638 qui eut lieu dans la presqu’île de Shimabara et les îles Amakusa, situées dans Kyūshū, à soixante-dix kilomètres de Nagasaki.Les causes du soulèvement furent loin d'être exclusivement religieuses, mais les paysans insurgés et leur chef Amakusa Shirō (de son vrai nom Masuda Tokisada (1621?-1638)), étaient généralement portés par la foi chrétienne.
- un Kata est un terme japonais désignant une forme dans les arts martiaux japonais. Il s'agit de mouvements codifiés à partir de l'expérience de combattants dont les noms ont été perdus. Les kata sont par la suite devenus des outils de transmission de techniques, mais aussi de principes, de combat.
-L’iaidō (居合道) est un art martial d'origine japonaise se focalisant sur l'acte de dégainer le sabre et de trancher en un seul mouvement. Plus exactement, le but est d'exécuter une technique, avant l'adversaire, choisie en fonction du lieu et du contexte de la situation. Tout comme pour les autres budō, cette discipline se focalise principalement sur la perfection des mouvements et la démarche spirituelle (influence du zen), l'efficacité technique, quant à elle, devient de plus en plus importante au fur et à mesure que le pratiquant augmente en grade.
- Rébellion de Shimabara (島原の乱, Shimabara no ran) est une importante révolte de paysans japonais au cours du Shogunat Tokugawa en 1637–1638 qui eut lieu dans la presqu’île de Shimabara et les îles Amakusa, situées dans Kyūshū, à soixante-dix kilomètres de Nagasaki.Les causes du soulèvement furent loin d'être exclusivement religieuses, mais les paysans insurgés et leur chef Amakusa Shirō (de son vrai nom Masuda Tokisada (1621?-1638)), étaient généralement portés par la foi chrétienne.
lundi 29 avril 2013
général Li Naomasa vassal de Tokugawa, Bataille de Sekigahara 21 Octobre 1600 / general Li Naomasa, Tokugawa's vassal, Battle of Sekigahara 21st October 1600
La bataille de Sekigahara (関ヶ原の戦い, Sekigahara no Tatakai), qui s'est déroulée les 20 et 21 octobre 1600, est un événement majeur de l'Histoire du Japon. Elle marque la fin de l'époque Sengoku et le début de l'époque d'Edo. Elle est d'ailleurs surnommée Tenka wakeme no kassen (天下分け目の合戦, « la bataille qui décida de l'avenir du pays »). Cette bataille ouvrit le chemin vers le shogunat pour Ieyasu Tokugawa. Bien qu'il ait fallu à Tokugawa trois ans de plus pour consolider sa position au pouvoir contre le clan Toyotomi et les daimyos, Sekigahara est généralement considérée comme le début non-officiel du shogunat Tokugawa, le dernier à avoir contrôlé le Japon.
À l'endroit qui est aujourd'hui Sekigahara, dans la préfecture de Gifu, les forces d'Ieyasu Tokugawa combattirent celles de Mitsunari Ishida, qui étaient loyales au fils et héritier de Hideyoshi Toyotomi, Hideyori. Le cours de la bataille changea lorsque Kobayakawa Hideaki (en), qui était du côté d'Ishida, trahit ses alliés en plein combat. Bien qu'au début, Kobayakawa se soit contenté de rester aux limites de la zone de combats et n'eût pas pris part à la bataille, Tokugawa finit par ordonner à ses ashigaru de tirer sur les troupes de Kobayakawa, après quoi ce dernier passa dans le camp Tokugawa. Ce fut cette trahison qui conduisit à la victoire décisive d'Ieyasu et à la fin du Conseil des Cinq.
À l'endroit qui est aujourd'hui Sekigahara, dans la préfecture de Gifu, les forces d'Ieyasu Tokugawa combattirent celles de Mitsunari Ishida, qui étaient loyales au fils et héritier de Hideyoshi Toyotomi, Hideyori. Le cours de la bataille changea lorsque Kobayakawa Hideaki (en), qui était du côté d'Ishida, trahit ses alliés en plein combat. Bien qu'au début, Kobayakawa se soit contenté de rester aux limites de la zone de combats et n'eût pas pris part à la bataille, Tokugawa finit par ordonner à ses ashigaru de tirer sur les troupes de Kobayakawa, après quoi ce dernier passa dans le camp Tokugawa. Ce fut cette trahison qui conduisit à la victoire décisive d'Ieyasu et à la fin du Conseil des Cinq.
dimanche 28 avril 2013
autre projet de Kato : la guerre d'indochine
je travaille en ce moment sur d'autres projets en plus de l'animation de ce blog consacré en majorité sur le japon des samourai dont un sur la guerre d'indochine dont je vous ferai partagé quelques croquis, comme celui ci :
dimanche 21 avril 2013
jeudi 18 avril 2013
mercredi 17 avril 2013
lundi 15 avril 2013
Yamamoto Kansuke, buste peint par Kato Shugyosha
Yamamoto Kansuke (山本 間輔?, 1501 - 1561) était le chef stratège des 24 généraux de Shingen Takeda.
Né Haruyuki Yamamoto dans la province de Mikawa, il prend le nom de Kansuke lorsqu'il devient moine bouddhiste. Il devient vassal du clan Imagawa mais on l'y considère de peu de talent, car il était de faible constitution, aveugle d'un œil et boiteux. C'était néanmoins un guerrier féroce. Dans diverses œuvres d'art, il est dépeint tenant une naginata pour soutenir sa jambe faible.
Présenté par Nobutaka Itagaki à Shingen Takeda, il impressionne tellement celui-ci qu'il lui donne sur le champ un fief de 1000 koku, qui sera en 1551 augmenté à 4000. Il prendra la même année le nom de Kansuke. Au fil du temps, Kansuke prend de l'importance auprès de Shingen, finissant par devenir son bras droit pour tout ce qui concerne les questions de stratégie, on raconte même que c'est lui qui a voulu que Harunobu devienne moine (c'est à ce moment qu'il devient Shingen Takeda).
C'était un brillant stratège, et il est particulièrement connu pour son plan qui a conduit à la victoire à la quatrième des batailles de Kawanakajima contre Kenshin Uesugi. Cependant, Yamamoto n'a pas vécu assez longtemps pour voir son plan couronné de succès: Kenshin évente son plan et Yamamoto, pensant que celui-ci avait échoué et que cela allait causer la chute de son seigneur, saisit une lance, charge les lignes ennemies et meurt au combat.
Le Heihō Okugisho, un traité de stratégie et de tactique attribué à Yamamoto, est inclus dans la chronique familiale des Takeda, le Kōyō Gunkan. Dans ce texte, il traite particulièrement du comportement stratégique des guerriers individuels.
Kato rejoindra prochainement le projet : LA BD POUR AIDER LA RECHERCHE SUR LA MUCOVISCIDOSE.
PRESENTATION DU PROJET PAR OLIVIER
Le premier objectif de ce projet est de lever des
fonds sous la forme d’une vente aux enchères de planches de BD,
d’esquisses, de dessins originaux, etc..
Description
UN PROJET AUTOUR DE LA BD ET DE LA RECHERCHE… LA BD POUR AIDER LA RECHERCHE SUR LA MUCOVISCIDOSE.
Voilà en quelques mots l’origine de ce projet et son but… Je suis un chercheur travaillant dans une unité de recherche INSERM (INSERM U1078 à Brest - http://genetic-brest.fr/) travaillant sur différentes pathologies et notamment la mucoviscidose, mais je suis aussi un amoureux inconditionnel de la BD. Un BDphile chercheur breton en quelque sorte…
Depuis toujours, j’essaye de réunir mes passions : la science, la recherche et la BD, mais aussi le monde associatif et les coups de mains entre humains... Ce projet, c’est tout ca. Depuis mes débuts dans le monde de la recherche, j’essaye de rapprocher celui-ci de la société… Deux mondes parfois malheureusement éloignés et qui pourtant feraient bien de s’écouter, de se comprendre et de s’aider.
Comme vous le savez tous, le nerf de la guerre pour la recherche est, comme pour beaucoup d’autres choses, l’argent. C’est particulièrement vrai pour la recherche sur les maladies rares. Avec mes petits moyens, mais toute mon énergie, j’essaye donc de trouver des moyens de lever des fonds pour cette recherche sur la mucoviscidose, en lien avec une association qui soutient notre laboratoire (Association Gaetan Saleun - www.laboratoire-recherche-brest.fr). Cette recherche sur la mucoviscidose, cette maladie mortelle, la plus fréquente des maladies génétiques graves en France, est financée dans sa presque quasi-totalité par des fonds d’origine associative.
Alors voilà, pour essayer de faire quelque chose, j’ai eu l’idée (sans doute un peu saugrenue) de vouloir solliciter le monde de la BD pour monter un projet visant à réunir des financements, mais aussi je l’espère pour initier dans le futur des projets autour de la recherche et de la BD. Je sais que tout le monde est excessivement sollicité pour soutenir telle ou telle cause. Je me dis que c’est en essayant de faire les choses, que l’on sait si elles sont possibles aussi…
Les artistes (chanteurs tout particulièrement) et les sportifs sont souvent mis en avant dans la lutte contre différentes maladies ou pour d’autres causes. Mais je suis sûr que le monde de la BD, moins mis sous le feu des projecteurs et aux moyens plus limités, peut être sensible, sensibilisé et sensibiliser la société pour ces mêmes causes et cela sous différentes formes.
Je pense qu’il est possible d’impliquer les auteurs, dessinateurs et scénaristes, ainsi que les maisons d’éditions en les faisant "participer" à ce projet sur la recherche sur la mucoviscidose.
Le premier objectif de ce projet est de lever des fonds sous la forme d’une vente aux enchères (comme cela se fait pour les équipements des sportifs par exemple) de planches de BD, d’esquisses, de dessins originaux, ou tout autre support… Une vente aux enchères sera donc effectuée fin novembre 2013, dans un lieu magique… et je ne suis pas le seul à le penser : Océanopolis, à Brest. L’équipe d’Océanopolis nous a apporté son total soutien pour le projet et sera un des partenaires de ce projet. Une exposition des œuvres et objets mis en vente aura lieu à Océanopolis les jours précédents la vente. J’aimerais que ce soit l’occasion de parler de la BD et de vous, les auteurs… et de nous rencontrer éventuellement pour faire discuter nos mondes.
Localement, l’association Brest en Bulle soutient le projet et en est partenaire, tout comme la librairie spécialisée Excalibulle… Si d’autres associations et d’autres librairies souhaitaient soutenir ce projet, ne serait-ce que pour en faire parler, nous en serions ravis.
Les premiers échos me laissent penser que je ne me suis pas trompé. Les réponses à mes sollicitations sont plutôt positives et un certains nombre d’auteurs ont déjà apporté leur soutien au projet. J’espère que vous serez nombreux à nous rejoindre.
Je sais que le temps de chacun est précieux, mais même une petite participation sera la bienvenue. Donc ce n'est pas forcément réaliser une planche, ou une œuvre spécialement faite pour ce projet. Cela peut aussi être quelque chose qui est déjà dans vos cartons ou dans un recoin... La somme des petites œuvres pourrait faire au final quelque chose de grand et, quelque soit la "somme" que nous récolterons, elle nous sera d’une aide précieuse. Tout euro récolté sera entièrement reversé à la recherche grâce à l’association Gaetan Saleun. Je sais pertinemment que les temps sont difficiles aussi pour les créateurs du monde de BD et qu'il est tout à fait compréhensible de ne pas répondre à toutes les sollicitations extérieures. Je sais pertinemment que tout le monde est très préoccupé par des millions de choses et que nous avons tous beaucoup de choses à faire, toutes plus urgentes les unes que les autres, mais j’espère que vous serez nombreux à porter une petite attention a ce projet. Je suis sûr que nous réussirons de très belles choses, tous ensemble.
Enfin voilà, c’est sans doute une idée un peu folle mais je suis sûr que si je n’essaye pas… Je ne saurai jamais si l’idée était belle et réalisable.
Ce projet, je l'espère, rassemblera des gens qui ont envie de faire un petit truc ensemble pour faire avancer les choses dans la joie et la bonne humeur. La suite du projet… un ouvrage collectif sur le monde de la recherche, les malades, leur famille, le monde soignant et le monde associatif…
Et surtout rendre ce projet durable dans le temps…
OLIVIER.
Voilà en quelques mots l’origine de ce projet et son but… Je suis un chercheur travaillant dans une unité de recherche INSERM (INSERM U1078 à Brest - http://genetic-brest.fr/) travaillant sur différentes pathologies et notamment la mucoviscidose, mais je suis aussi un amoureux inconditionnel de la BD. Un BDphile chercheur breton en quelque sorte…
Depuis toujours, j’essaye de réunir mes passions : la science, la recherche et la BD, mais aussi le monde associatif et les coups de mains entre humains... Ce projet, c’est tout ca. Depuis mes débuts dans le monde de la recherche, j’essaye de rapprocher celui-ci de la société… Deux mondes parfois malheureusement éloignés et qui pourtant feraient bien de s’écouter, de se comprendre et de s’aider.
Comme vous le savez tous, le nerf de la guerre pour la recherche est, comme pour beaucoup d’autres choses, l’argent. C’est particulièrement vrai pour la recherche sur les maladies rares. Avec mes petits moyens, mais toute mon énergie, j’essaye donc de trouver des moyens de lever des fonds pour cette recherche sur la mucoviscidose, en lien avec une association qui soutient notre laboratoire (Association Gaetan Saleun - www.laboratoire-recherche-brest.fr). Cette recherche sur la mucoviscidose, cette maladie mortelle, la plus fréquente des maladies génétiques graves en France, est financée dans sa presque quasi-totalité par des fonds d’origine associative.
Alors voilà, pour essayer de faire quelque chose, j’ai eu l’idée (sans doute un peu saugrenue) de vouloir solliciter le monde de la BD pour monter un projet visant à réunir des financements, mais aussi je l’espère pour initier dans le futur des projets autour de la recherche et de la BD. Je sais que tout le monde est excessivement sollicité pour soutenir telle ou telle cause. Je me dis que c’est en essayant de faire les choses, que l’on sait si elles sont possibles aussi…
Les artistes (chanteurs tout particulièrement) et les sportifs sont souvent mis en avant dans la lutte contre différentes maladies ou pour d’autres causes. Mais je suis sûr que le monde de la BD, moins mis sous le feu des projecteurs et aux moyens plus limités, peut être sensible, sensibilisé et sensibiliser la société pour ces mêmes causes et cela sous différentes formes.
Je pense qu’il est possible d’impliquer les auteurs, dessinateurs et scénaristes, ainsi que les maisons d’éditions en les faisant "participer" à ce projet sur la recherche sur la mucoviscidose.
Le premier objectif de ce projet est de lever des fonds sous la forme d’une vente aux enchères (comme cela se fait pour les équipements des sportifs par exemple) de planches de BD, d’esquisses, de dessins originaux, ou tout autre support… Une vente aux enchères sera donc effectuée fin novembre 2013, dans un lieu magique… et je ne suis pas le seul à le penser : Océanopolis, à Brest. L’équipe d’Océanopolis nous a apporté son total soutien pour le projet et sera un des partenaires de ce projet. Une exposition des œuvres et objets mis en vente aura lieu à Océanopolis les jours précédents la vente. J’aimerais que ce soit l’occasion de parler de la BD et de vous, les auteurs… et de nous rencontrer éventuellement pour faire discuter nos mondes.
Localement, l’association Brest en Bulle soutient le projet et en est partenaire, tout comme la librairie spécialisée Excalibulle… Si d’autres associations et d’autres librairies souhaitaient soutenir ce projet, ne serait-ce que pour en faire parler, nous en serions ravis.
Les premiers échos me laissent penser que je ne me suis pas trompé. Les réponses à mes sollicitations sont plutôt positives et un certains nombre d’auteurs ont déjà apporté leur soutien au projet. J’espère que vous serez nombreux à nous rejoindre.
Je sais que le temps de chacun est précieux, mais même une petite participation sera la bienvenue. Donc ce n'est pas forcément réaliser une planche, ou une œuvre spécialement faite pour ce projet. Cela peut aussi être quelque chose qui est déjà dans vos cartons ou dans un recoin... La somme des petites œuvres pourrait faire au final quelque chose de grand et, quelque soit la "somme" que nous récolterons, elle nous sera d’une aide précieuse. Tout euro récolté sera entièrement reversé à la recherche grâce à l’association Gaetan Saleun. Je sais pertinemment que les temps sont difficiles aussi pour les créateurs du monde de BD et qu'il est tout à fait compréhensible de ne pas répondre à toutes les sollicitations extérieures. Je sais pertinemment que tout le monde est très préoccupé par des millions de choses et que nous avons tous beaucoup de choses à faire, toutes plus urgentes les unes que les autres, mais j’espère que vous serez nombreux à porter une petite attention a ce projet. Je suis sûr que nous réussirons de très belles choses, tous ensemble.
Enfin voilà, c’est sans doute une idée un peu folle mais je suis sûr que si je n’essaye pas… Je ne saurai jamais si l’idée était belle et réalisable.
Ce projet, je l'espère, rassemblera des gens qui ont envie de faire un petit truc ensemble pour faire avancer les choses dans la joie et la bonne humeur. La suite du projet… un ouvrage collectif sur le monde de la recherche, les malades, leur famille, le monde soignant et le monde associatif…
Et surtout rendre ce projet durable dans le temps…
OLIVIER.
Informations générales
Description du projet : http://www.brestenbulle.fr/ProjetMuco/Projet.pdfCourrier d'adhésion de l'ASSOCIATION GAETAN SALEUN : http://www.brestenbulle.fr/ProjetMuco/Lettre%20Olivier%20Mignen.pdf
Qu'est-ce que la mucoviscidose :
- http://www.brestenbulle.fr/ProjetMuco/Mucoviscidose.pps
- http://www.brestenbulle.fr/ProjetMuco/Slides%20illustration.pps
samedi 13 avril 2013
Kato Shugyosha sur facebook
Découvrez d'autres dessins de Kato Shugyosha sur facebook à cette adresse : https://www.facebook.com/pages/Kato-Shugyosha-BD/481957875202787
vendredi 12 avril 2013
ronin armé d'un kusarigama
Le kusarigama est une arme blanche développée au Japon au XIIe siècle par des paysans, soucieux de se défendre. En effet, n'ayant pas le droit d'utiliser un katana, et étant trop pauvres pour acheter une lance, un couteau ou n'importe quelle autre arme, les paysans ont utilisé dans leur intérêt défensif leurs outils, comme les faucilles kama, les serpes, les truelles (kunaï) et autres.
Dans l'absolu, le kusarigama est une kama (faucille) dont l'extrémité du manche opposée à la lame était attachée à une chaine, dont la longueur variait en fonction des besoins, mais dont la taille générale se situait entre quatre et six mètres. L'extrémité de cette chaine était ornée d'un boulet métallique, d'une boule de bois, ou d'une pierre, de sorte qu'elle puisse être utilisée comme un fléau.
Les ninjas ont fait grand usage de kusarigama, déjà parce qu'il était facile à utiliser, pour eux, habitués au combat avec des chaines, et en plus parce qu'il permettait de se faire passer facilement pour un paysan, tout en restant efficace au combat, grâce à une arme rustique mais sophistiquée et polyvalente. Effectivement, la souplesse, la létalité et la rapidité d'utilisation font de la chaine une arme très efficace face à un sabre, une lance, un couteau ou un homme désarmé. La rigidité d'une lame fixe ou d'un bâton était désavantageuse, face à une chaine, qui ne pouvait pas être tranchée ou coupée, mais qui pouvait passer la défense de l'adversaire, pour l'atteindre sans se rapprocher de lui.
Le kusarigama a été l'objet d'améliorations et d'évolutions, et a donné naissance au kyoketsu shoge.
Le Kusarigamajutsu est enseigné dans des koryu, notamment la Nito Shinkage-ryu Kusarikamajutsu (二刀神影流鎖鎌術), Suio-ryu Iai Kenpo (水鷗流 居合 剣法) ainsi que dans les koryu de Ninjutsu.
On le retrouve également dans les arts martiaux d'Okinawa.
Les rōnin sont d'anciens samouraïs exclus de la société japonaise féodale, pour plusieurs raisons : la mort de leur seigneur, leurs propres fautes ou leur défaite au combat. Ils devenaient donc une sorte de « paria », n'ayant pas de classe propre dans une société extrêmement hiérarchisée et basée sur les relations de loyauté envers un seigneur. La plupart d'entre eux se tournaient alors vers des métiers plus humbles après la perte de leur fief, en devenant fermiers ou même prêtres bouddhistes errants (虚無僧, komusō), vivant d'aumônes. Mais certains ayant des difficultés à accepter leur nouvelle position sociale tentaient de se rebeller, même en se tournant vers le banditisme.
Après la période Sengoku (1467 - 1568), l'image des samouraïs se dégrada, et ils furent considérés comme des mercenaires à la solde de leurs maîtres. C'est à cette époque que le nombre de rōnin augmenta. Les rōnin combattaient pour leurs idéaux. On leur associait souvent l'image du « preux chevalier ».
C’est surtout lors de l’ère Edo (1600 - 1868) que le nombre de rōnin alla en croissant : le shogunat avait en effet mis en place un système rigide qui interdisait aux samouraïs de changer de maître, de se marier hors de leur « clan », ou d’avoir des occupations extérieures au clan sans la permission de leur ancien maître alors que les règles étaient beaucoup plus flexibles sous les régimes précédents. De fait, la mort ou la ruine de son maître rendait presque impossible au samouraï d’en trouver un autre et le forçait à devenir rōnin.
jeudi 11 avril 2013
lundi 8 avril 2013
citation du jour
" La meilleure attitude à
avoir à l’égard de la parole, c’est de ne pas en user. Si
vous pensez pouvoir vous passer d’elle, ne parlez pas.
Ce qui doit être dit devrait toujours être dit aussi succinctement, logiquement et clairement que possible. Un nombre surprenant de gens se ridiculisent en parlant sans réfléchir et se déconsidèrent d’autant." : Hagakure
Le Hagakure (Shinjitai: 葉隠, littéralement « à l'ombre des feuilles » ou « caché dans le feuillage1 ») , ou Hagakure Kikigaki (葉隠聞書?) est un guide pratique et spirituel destiné aux guerriers.
Il s’agit d’une compilation des pensées et enseignements de Jōchō Yamamoto, ancien samouraï vassal de Nabeshima Mitsushige. Ses commentaires ont été recueillis par un jeune scribe Tashiro Tsuramoto entre 1709 et 1716, mais ils n’ont été révélés que bien plus tard (au début du XXe siècle au public japonais) car gardés jalousement pendant plus de 150 années par le clan des Nabeshima. À l'origine, le Hagakure est formé de 11 tomes.
Bien qu'il ne s'agisse pas d'un traité mais d'une suite d'évocations et de réflexions d'un véritable samouraï, ce texte-fleuve expose en essence le bushido, littéralement la Voie du combattant. Ce code guerrier des samouraïs défend une éthique chevaleresque où l'honneur et la loyauté à son suzerain peuvent aller jusqu'au sacrifice de soi mais aussi l'humilité et la discipline nécessaires quant à l'apprentissage et au perfectionnement dans « l'art de la guerre, de la vie et de la mort ».
L'Hakagure est composé de onze chapitres précédés d'une introduction intitulée « Une conversation tranquille au crépuscule ». Leur rédaction dura sept ans amis et laisse penser à quelques anecdotes complémentaires par le rédacteur Tashuiro Tsuramoto servant à rendre vivant le propos concis du samouraï devenu moine (d'où le changement de prénom de Tsunetomo en Jôchô) après la mort de son suzerain, le seppuku étant alors proscrit.
Les deux premiers volumes rassemblent les préceptes du samouraï. Les trois volumes suivants sont dédiés à la gloire des fondateurs du clan Nabeshima et des daimyos du fief de Saga. Les six volumes restants traitent de l'histoire de la province de Saga, des hauts faits de ses vassaux ou encore de ceux de samouraïs étrangers, et enfin d'histoires additionnelles.
Ce qui doit être dit devrait toujours être dit aussi succinctement, logiquement et clairement que possible. Un nombre surprenant de gens se ridiculisent en parlant sans réfléchir et se déconsidèrent d’autant." : Hagakure
Le Hagakure (Shinjitai: 葉隠, littéralement « à l'ombre des feuilles » ou « caché dans le feuillage1 ») , ou Hagakure Kikigaki (葉隠聞書?) est un guide pratique et spirituel destiné aux guerriers.
Il s’agit d’une compilation des pensées et enseignements de Jōchō Yamamoto, ancien samouraï vassal de Nabeshima Mitsushige. Ses commentaires ont été recueillis par un jeune scribe Tashiro Tsuramoto entre 1709 et 1716, mais ils n’ont été révélés que bien plus tard (au début du XXe siècle au public japonais) car gardés jalousement pendant plus de 150 années par le clan des Nabeshima. À l'origine, le Hagakure est formé de 11 tomes.
Bien qu'il ne s'agisse pas d'un traité mais d'une suite d'évocations et de réflexions d'un véritable samouraï, ce texte-fleuve expose en essence le bushido, littéralement la Voie du combattant. Ce code guerrier des samouraïs défend une éthique chevaleresque où l'honneur et la loyauté à son suzerain peuvent aller jusqu'au sacrifice de soi mais aussi l'humilité et la discipline nécessaires quant à l'apprentissage et au perfectionnement dans « l'art de la guerre, de la vie et de la mort ».
L'Hakagure est composé de onze chapitres précédés d'une introduction intitulée « Une conversation tranquille au crépuscule ». Leur rédaction dura sept ans amis et laisse penser à quelques anecdotes complémentaires par le rédacteur Tashuiro Tsuramoto servant à rendre vivant le propos concis du samouraï devenu moine (d'où le changement de prénom de Tsunetomo en Jôchô) après la mort de son suzerain, le seppuku étant alors proscrit.
Les deux premiers volumes rassemblent les préceptes du samouraï. Les trois volumes suivants sont dédiés à la gloire des fondateurs du clan Nabeshima et des daimyos du fief de Saga. Les six volumes restants traitent de l'histoire de la province de Saga, des hauts faits de ses vassaux ou encore de ceux de samouraïs étrangers, et enfin d'histoires additionnelles.
Tengu, croquis pour le site ComicsBlog
Les tengu (天狗?) sont des dieux (kami) mineurs du folklore japonais. Ils font partie des traditions de la plupart des religions japonaises, le shintoïsme et le bouddhisme, où ils sont classés comme marakayika. Zoomorphes comme la plupart des kami, ils sont représentés sous forme de corbeaux. Ils sont parfois associés aux dieux Saruta-hiko, Susano-o, et Garuda, divinité bouddhique ailée. Parce qu'ils vivent dans les montagnes (surtout les yamabushi tengu) il arrive qu'on les confonde avec les yama no kami, représentés comme de grands arbres, qui sont les protecteurs des montagnes. Les tengu sont un sujet populaire de l'art, du théâtre, et de la littérature japonaise.
samedi 6 avril 2013
citation du jour
Savoir n'est pas suffisant il faut appliquer
Vouloir n'est pas suffisant il faut accomplir
Bruce Lee
Bruce Lee (de son vrai nom chinois : 李振藩 ; pinyin : Lǐ Zhènfān ; cantonais Jyutping : Lei⁵ Zan³faan⁴ en mandarin Lee Junfan, en cantonais), nom de scène chinois « Li Xiao-Long » (chinois simplifié : 李小龙 ; chinois traditionnel : 李小龍 ; pinyin : Lǐ Xiǎolóng ; Wade : Li³ Xiao³long² ; cantonais Jyutping : Lee⁵ Siu²lung⁴), né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong en Chine le 20 juillet 1973, est un artiste martial, réalisateur, acteur, producteur, scénariste et philosophe Sino-Américain. Parallèlement à sa carrière d'acteur, il a créé son propre art martial, le Jeet Kune Do. Il est considéré comme le plus grand maître d'arts martiaux dans le cinéma mondial du XXe siècle et il a ouvert la voie à d'autres acteurs chinois comme Jackie Chan et Jet Li, ou étrangers comme Jean-Claude Van Damme, Steven Seagal ainsi que Chuck Norris. Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme faible atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort tragique et prématurée a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux.
Vouloir n'est pas suffisant il faut accomplir
Bruce Lee
Bruce Lee (de son vrai nom chinois : 李振藩 ; pinyin : Lǐ Zhènfān ; cantonais Jyutping : Lei⁵ Zan³faan⁴ en mandarin Lee Junfan, en cantonais), nom de scène chinois « Li Xiao-Long » (chinois simplifié : 李小龙 ; chinois traditionnel : 李小龍 ; pinyin : Lǐ Xiǎolóng ; Wade : Li³ Xiao³long² ; cantonais Jyutping : Lee⁵ Siu²lung⁴), né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong en Chine le 20 juillet 1973, est un artiste martial, réalisateur, acteur, producteur, scénariste et philosophe Sino-Américain. Parallèlement à sa carrière d'acteur, il a créé son propre art martial, le Jeet Kune Do. Il est considéré comme le plus grand maître d'arts martiaux dans le cinéma mondial du XXe siècle et il a ouvert la voie à d'autres acteurs chinois comme Jackie Chan et Jet Li, ou étrangers comme Jean-Claude Van Damme, Steven Seagal ainsi que Chuck Norris. Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme faible atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort tragique et prématurée a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux.
vendredi 5 avril 2013
le jeune Kato Kyomasa, figurine 54mm, acrylique
Katō Kiyomasa (加藤 清正?, July 25, 1561 – August 2, 1611) was a Japanese daimyō of the Azuchi-Momoyama and Edo period.
http://en.wikipedia.org/wiki/Kat%C5%8D_Kiyomasa
citation du jour
« Savoir connaître les différents chemins par où on peut arriver à un
même terme ; ne pas dédaigner d'entrer dans un détail exact de toutes
les choses qui peuvent servir, et se mettre au fait de chacune d'elles
en particulier. Tout cela ensemble forme un corps de discipline dont la
connaissance pratique ne doit point échapper à la sagacité ni aux
attentions d'un général. »: Sun Tzu, l'Art de la Guerre
Sun Tzu ou Sun Zi ou Souen Tseu (chinois: 孫子, pinyin: sūn zǐ, Wade-Giles : sun tzu, prononcé /suən.ts̩/, signifie « maître Sun ») de son vrai nom Sun Wu (孫武, Sūn Wǔ, sun wu, wǔ signifiant « militaire », «martial») est un général chinois du VIe siècle av. J.-C. (544–496 av. J.-C.).
Il est surtout célèbre en tant qu'auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu : L'Art de la guerre. L'idée principale de son œuvre est que l’objectif de la guerre est de contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la ruse, l'espionnage et une grande mobilité : il s’agit donc de s’adapter à la stratégie de l’adversaire pour s'assurer la victoire à moindre coût.
Les idées de L'Art de la guerre ont été reprises et adaptées par différents auteurs pour la stratégie et notamment la stratégie d'entreprise.
Sun Tzu ou Sun Zi ou Souen Tseu (chinois: 孫子, pinyin: sūn zǐ, Wade-Giles : sun tzu, prononcé /suən.ts̩/, signifie « maître Sun ») de son vrai nom Sun Wu (孫武, Sūn Wǔ, sun wu, wǔ signifiant « militaire », «martial») est un général chinois du VIe siècle av. J.-C. (544–496 av. J.-C.).
Il est surtout célèbre en tant qu'auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu : L'Art de la guerre. L'idée principale de son œuvre est que l’objectif de la guerre est de contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la ruse, l'espionnage et une grande mobilité : il s’agit donc de s’adapter à la stratégie de l’adversaire pour s'assurer la victoire à moindre coût.
Les idées de L'Art de la guerre ont été reprises et adaptées par différents auteurs pour la stratégie et notamment la stratégie d'entreprise.
jeudi 4 avril 2013
citation du jour
Un
général est en quelque sorte un maître-charpentier. Les généraux ont
le sens des dimensions du monde,
ils corrigent les mesures d'une
province et connaissent les membres
d'un clan. C'est la Voie d'un général (Maître). Le maître-charpentier
connaît parfaitement la construction d'un pavillon, d'une tour, d'un
temple. Il est capable de dresser les plans d'un palais, d'un château et
il édifie des bâtiments en se faisant aider par des ouvriers. Ainsi maître-charpentier
et maître-samouraï sont semblables. : Myamoto Musashi, Traité des cinq roues.
Miyamoto Musashi (宮本 武蔵, Miyamoto Musashi?), de son premier nom Shinmen Takezō (Miyamoto étant le nom de son village de naissance et Musashi, une autre façon de lire les idéogrammes écrivant Takezō; 12 mars 1584 – 19 juin 1645) est l'une des figures emblématiques du Japon, maître samouraï, philosophe et le plus fameux escrimeur de l'histoire du pays.
Miyamoto Musashi (宮本 武蔵, Miyamoto Musashi?), de son premier nom Shinmen Takezō (Miyamoto étant le nom de son village de naissance et Musashi, une autre façon de lire les idéogrammes écrivant Takezō; 12 mars 1584 – 19 juin 1645) est l'une des figures emblématiques du Japon, maître samouraï, philosophe et le plus fameux escrimeur de l'histoire du pays.
mercredi 3 avril 2013
citation du jour
Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles
sans jamais être en péril. Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît
lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite. Qui ne connaît ni
l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles.: Sun Tzu, l'Art de la Guerre
Sun Tzu ou Sun Zi ou Souen Tseu (chinois: 孫子, pinyin: sūn zǐ, Wade-Giles : sun tzu, prononcé /suən.ts̩/, signifie « maître Sun ») de son vrai nom Sun Wu (孫武, Sūn Wǔ, sun wu, wǔ signifiant « militaire », «martial») est un général chinois du VIe siècle av. J.-C. (544–496 av. J.-C.).
Il est surtout célèbre en tant qu'auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu : L'Art de la guerre. L'idée principale de son œuvre est que l’objectif de la guerre est de contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la ruse, l'espionnage et une grande mobilité : il s’agit donc de s’adapter à la stratégie de l’adversaire pour s'assurer la victoire à moindre coût.
Les idées de L'Art de la guerre ont été reprises et adaptées par différents auteurs pour la stratégie et notamment la stratégie d'entreprise.
Sun Tzu ou Sun Zi ou Souen Tseu (chinois: 孫子, pinyin: sūn zǐ, Wade-Giles : sun tzu, prononcé /suən.ts̩/, signifie « maître Sun ») de son vrai nom Sun Wu (孫武, Sūn Wǔ, sun wu, wǔ signifiant « militaire », «martial») est un général chinois du VIe siècle av. J.-C. (544–496 av. J.-C.).
Il est surtout célèbre en tant qu'auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu : L'Art de la guerre. L'idée principale de son œuvre est que l’objectif de la guerre est de contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la ruse, l'espionnage et une grande mobilité : il s’agit donc de s’adapter à la stratégie de l’adversaire pour s'assurer la victoire à moindre coût.
Les idées de L'Art de la guerre ont été reprises et adaptées par différents auteurs pour la stratégie et notamment la stratégie d'entreprise.
la chaine Youtube du blog vient de s'ouvrir :
la chaine Youtube du blog vient de s'ouvrir, déjà des videos en ligne : documentaires & films
http://www.youtube.com/channel/UCrIMz4Kgn8wasyCh6Qm-xgw
http://www.youtube.com/channel/UCrIMz4Kgn8wasyCh6Qm-xgw
mardi 2 avril 2013
citation du jour
Le Défaitisme est une forme de vanité parce
qu'en étant défaitiste, on se positionne en tant que Général en chef,
d'une armée vaincue! Au lieu d'accepter d'être le simple soldat d'un
escadron qui, bien que décimé, continue à lutter. : Pape François,
Amour, Service & humilité
Jorge Mario Bergoglio, né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine, est un homme d'Église, 266e pape de l’Église catholique romaine sous le nom de François (en latin Franciscus) depuis son élection le 13 mars 2013. Il a été auparavant archevêque de Buenos Aires et cardinal.
Il est le premier pape issu des rangs de la Compagnie de Jésus, ainsi que le premier pape non européen depuis le pape syrien Grégoire III au VIIIe siècle, et aussi le premier issu du continent américain. Il est également le premier pape à prendre le nom de François, nom choisi en mémoire de l'engagement de saint François d'Assise dans le combat contre la pauvreté et pour la paix.
Jorge Mario Bergoglio, né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine, est un homme d'Église, 266e pape de l’Église catholique romaine sous le nom de François (en latin Franciscus) depuis son élection le 13 mars 2013. Il a été auparavant archevêque de Buenos Aires et cardinal.
Il est le premier pape issu des rangs de la Compagnie de Jésus, ainsi que le premier pape non européen depuis le pape syrien Grégoire III au VIIIe siècle, et aussi le premier issu du continent américain. Il est également le premier pape à prendre le nom de François, nom choisi en mémoire de l'engagement de saint François d'Assise dans le combat contre la pauvreté et pour la paix.
lundi 1 avril 2013
L'historien et budoka Roland Habersetzer soutient ce blog Bd sur les arts martiaux japonais et la vie au temps des samouraïs à voir sa courte note sur son site ici :
http://www.tengu.fr/index13.html
rubrique publication, livre de reference, Amakusa Shiro, Samourai de Dieu
http://www.tengu.fr/index13.html
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